Elément de plus grande instabilité du Tibet et représentant des propriétaires de serfs, le dalai lama n'est pas qualifié de parler des droits de l'homme, a indiqué Qiangba Puncog, gouverneur de la région autonome du Tibet, vendredi à Beijing.
"Il n'existe aucune preuve historique ou de base actuelle justifiant les prétendues notions de 'Grand Tibet' et de 'haut degré d'autonomie', et ces notions vont à l'encontre des souhaits du peuple tibétain, a-t-il souligné lors d'une conférence de presse en marge de la session annuelle de la 11ème Assemblée populaire nationale (APN, parlement chinois) de Chine.
"Nous devons juger un homme non seulement sur ses paroles, mais aussi sur ses actes," a souligné cet officiel, ajoutant que les actes du dalai lama étaient en désaccord avec ses paroles.